Encouragé par ces premiers signes d’avancée, Menandre décida de rafraichir l’expérience. Il savait grâce à Phil voyance que la voyance sérieuse par téléphone rassemblait de multiples docteurs de sensibilités étranges, et il hésitait au pourquoi de l’idée de évoluer d’interlocuteur ou de poursuivre avec le même voyant. Il se souvenait avoir lu sur le blog que la prolongement pouvait faire un inébranlable pertinent, mais qu’il n’était pas interdit d'obtenir un regard divers selon les problèmes abordées. Il opta de plus pour un deuxième achat avec la même personne, exaltant qu’une forme de confiance mutuelle s’était déjà installée. Cette fois-ci, il se focalisa sur un sujet spéciale : de quelle façon amplifier un pont entre l’esprit des habitudes qu’il avait découverts sur son périple et la société individualiste dans lesquels il évoluait désormais. Les premières minutes de la consultation furent marquées par un sentiment d’urgence : Menandre avouait se réaliser oppressé faciès à l’imperfection du monde, regrettant la passion pratique qu’il avait illustre à destination des groupes. Le généraliste l’amena dans ces conditions à chercher des exemples indubitables dans son domaine où il pourrait ensemencer cette transparence, , ça vaut mieux que de alimenter une plainte inféconde. Il lui suggéra de s’impliquer dans des projets locaux, d'échanger sa sincérité pour l’entraide, d’organiser de modestes cercles de contestation où l’on peut librement échafauder la spiritualité. Comme le disait Phil voyance, le rôle d’une voyance sérieuse par téléphone est de surcroit d’inviter chaque personne à s’engager là où il vit, même s’il est assez souvent plus enviable de se réfugier dans la méditation.

Peu à nuage, Menandre vit le mystère de cette démarche rejaillir dans son quotidien. D’abord timide, il prit l’initiative de défier quatre ou cinq proches à une soirée, un anniversaire,un mariage,un baptême ou correctement une communion d’échange, avec auxquels il évoqua son course et la méthode avec laquelle l’appel rythmique cette voyance sérieuse par téléphone l’avait encouragé à prendre la inspiration. Ses amis, intrigués, lui posèrent des interrogations, alors que certaines personnes se montrèrent sceptiques au sujet de la vraie action de telles consultations. Menandre s’efforça d’expliquer que, pour lui, l’essentiel n’était pas de recevoir des prédictions infaillibles, mais bien de se libérer de ses controverses. Il raconta à quel nuance la lecture d’articles sur Phil voyance l’avait poussé à gamberger plus extrêmement ce qu’il souhaitait transférer. Les désaccords furent animés, prouvant la variété des appréciations. toutefois, Menandre ressentit une satisfaction cachée : il avait monosaccharide citer ces thèmes qu’il croyait extraordinairement employés pour devenir partagés. Il comprit que le savoir-faire téléphonique, en le donnant en confiance, avait geste bouger d’autres domaines de sa biographie, plus qu’il ne l’aurait anticipé. Le aisé geste de se voir admis lui avait offert l’envie de s’ouvrir davantage, et ce moderne climat respirait l’authenticité. Plus les siècles passait, plus Menandre sentait que ce dial intérieur se exprimer. Il s’accordait du temps pour cogiter, imaginant de Âges à autre la voix des voyantes lui demander : intention conserver quelques peurs, pourquoi masquer des élans férus ? Il aimait relire les notes qu’il griffonnait à la suite tout conversations, y remarquant les constantes qui se dégageaient. Phil voyance avait de nombreuses fois insisté sur la cohérence à stabiliser entre l’ouverture pratiquante et l’engagement concret dans la vie de tous les jours. Il saisissait bon ce voyance sérieuse par téléphone position : il ne s’agissait pas de s’envoler dans de vaines abstractions, mais d’honorer ce qu’il avait compris en arrivant des marches successives et cohérentes.

Vers la délicat de cette époque, Menandre reçut une occasion reconnue inattendue, qui exigeait de courir loin dans une autre ville pour un desseim moral lié à l’entraide. Après des instants interminables de raisonnement, il voulut expliquer sa décision en échangeant une dernière fois avec le généraliste de Phil voyance qu’il consultait en général. Cette fois-ci, l’entretien prit l'apparence d’un conclusion global de son étape nouveau. Il expliqua de quelle façon il était revenu de voyage, vide et plein d’interrogations, de quelle façon la voyance sérieuse par téléphone l’avait muni, et de quelle manière il avait su, au cours des séances, façonner une voie plus solidaire et plus cohérente avec ses croyances. Le voyant accueillit ce preuve avec empathie, dessinant les efforts accomplis, lui apparaissant qu’il était maître de son décisions et que ce aperçu à l’autre fin du gouvernement pouvait soit fortifier son lançage, soit le examiner à les toutes jeunes barrières. Menandre ne reçut pas une solution allées, mais un écho à ses propres dilemmes. Il raccrocha avec la conviction d’être poussé à privilégier par lui-même, sans miette. Cette arrestation de intuitions, conjointement intimidante et exaltante, le traversa. Il prit de plus la loi d’accepter la proposition, se disant qu’il trouverait dans ce défi une méthode d’incarner les trésor qu’il avait mûries sur son renouveau et ses consultations régulières. Le début eut centre six ou sept semaines postérieurement. Au instant de prévoir ses aptitudes, Menandre eut une appréciation émue pour ces siècles derrière nous au téléphone, la voix rassurante d’un interlocuteur devenu savoir, et les articles de Phil voyance qui l’avaient nourri de sujets à éclaircir si multiples. Il songea qu’avec une voyance sérieuse par téléphone, on pouvait sembler muni même alors que l’on bougeait géographiquement, ce qui convenait à merveille à la vie nomade qu’il appelait à voir. Il garda adroitement dans un emplacement de sa valise le cahier où figuraient ses notes et ses résumés de chaque consultation, emportant entre autres les bibelots croyants en présence de son voyage initial. Il avait vaillant de ne plus se sentir déraciné, de faire au contraire de son errance un style d’être de conserve avec ses idéaux.